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Eric Leguay, ma vie numérique

Le présent n'est que le futur passé...

Poulailler's Song

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« Dans les poulaillers d'acajou, les belles basses-cours à bijoux, on entend la conversation D'la volaille qui fait l'opinion. ». mais qui sont ces femmes qui à cor et à cri dénigrent le jeu vidéo ? Assimilant ce loisir innocent aux pires dérives de la société, amalgamant sans vergogne les pires criminels au simple joueur de banlieue. Je croyais en avoir fini avec les Morano et les Manaudou, mais il se trouvera toujours une « Pintade parisienne » pour venir caqueter sur les plateaux de télévision. Elle aura toujours quelques chose à dire sur un sujet qu'elle ne connaît pas, et sans que son avis compte. Est-ce que l'on vous parle de vos années « Barbies » Mesdames qui on fait plus de mal à la Mode, au bon goût et l'affirmation de la féminité que tout les Call Of Duty réunis. Pourquoi s'en prendre ainsi frontalement aux jeux des garçons (et de filles de plus en plus) quand soi même on passe plus de temps à faire du shopping, qu'à connaître le monde qui vous entoure.

 

 

Le dernier caquetage en date, vient de Natacha Polony, journaliste au Figaro, dont les pages « jeux vidéos » sont encore mal connues des joueurs. Venant d'un journal rétrograde et passéiste, on ne pouvait attendre une pluie d'éloges mais de là à affirmer sans rire, que le lien était fait entre la « violence du jeu vidéo » et l'affaire Mohamed Merah. Il n'y a plus guère que la secte du Dauphiné pour clamer dans les médias que les « jeux vidéos violents rendent violents », car personne n'est dupe, ceci est une affirmation purement gratuite. Trouver un coupable et celui ci est si facile. Malheureusement la communauté des joueurs ne se laisse plus faire et réagit au quart de seconde par une pluie de messages, que dis je une averse, un déluge...

 

 

Oui mesdames, les garçons (et de plus en plus de filles) aiment jouer aux jeux de guerre et ce depuis la nuit des temps. Ils ont besoins de ce battre entre eux pour se construire, se comparer, s'identifier. Comme les « Garçons » n'ont aucune envie de devenir des « Filles », ils ne vont pas échanger l'adrénaline d'un bon jeu de baston pour une après midi shopping. Cela vous déplaît s'en doute, vous qui croyez depuis l'enfance et les mièvreries de Disney être des Princesses et attendez le « Prince charmant » qui n'existe pas ; la réalité est cruelle. Oui le jeu vidéo vol à sa maman le petit garçon et à la demoiselle, le beau damoiseau. Là au moins il s'éclate, sur sa console avec ses potes, mais vous pouvez aussi jouer avec lui, ce n'est pas interdit... Mesdames abandonner un peu vos Barbies et regarder vivre les Garçons avant de critiquer bêtement.

 

Poulaillers' song – 1978 - Alain Souchon / Laurent Voulzy

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