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Eric Leguay, ma vie numérique

Le présent n'est que le futur passé...

L'apéro Facebook fait le buzz à Poitiers

Après Rennes, et Brest c'est à Poitiers de faire un pied de nez aux institutions en réussissant un apéro faceBook. A lire dans la Nouvelle République, l'article d'Emmanuel Touron et de Jean-Michel Gouin.

AperoFaceBook

Extraits

“ Ça casse le discours habituel qui veut qu'il n'y ait aucune réalité derrière ces réseaux ”
 
C'est ce qui enthousiasme le spécialiste des réseaux sociaux, Eric Leguay : « Voilà bien la preuve que ces réseaux ne sont pas si virtuels que ça. Ça casse le discours qu'on entend habituellement. »
Et au milieu de cette marée tranquille d'internautes auto-transférés du virtuel à la réalité, Amanda, la brunette qui a tout déclenché, jubile joliment. Heureuse de son coup, elle s'amuse de sa notoriété soudaine. On l'a photographie, elle est photogénique, c'est son moment de gloire. Andy Warhol n'aurait pas fait mieux.


Et tout ça a laissé les autorités locales pantoises, désarmées face à une mécanique nouvelle qu'elle ne maîtrise pas (pas encore), par une manifestation qu'elles ont décidé de tolérer… à défaut de pouvoir l'interdire à temps. Cela dit, prohiber un tel rassemblement n'aurait-il pas été la marque d'une posture liberticide ? Pas simple...

 

http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=86&num=1610224#

 

Merci à Alexis

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D
<br /> <br /> Ca prouve encore une fois la puissance de Facebook    Par ailleurs faut faire gaffe à ce qu' on publie sur son<br /> profil, j'en ai déjà fais l'expérience....<br /> <br /> <br /> <br />
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N
<br /> <br /> Il semblerait que les autorités aient trouvé la solution pour empêcher les jeunes de se retrouver en masse lors d'apéros géants organisés à partir de Facebook: le rappel des responsabilités et<br /> des risques encourus par les organisateurs de tels évènements.<br /> <br /> <br /> Ainsi, un jeune Redonnais qui avait lancé l'idée d'un tel rassemblement dans sa ville et avait réuni plus de 1.000 inscrits a annulé le projet suite à une<br /> convocation de la gendarmerie, comme le rapporte Ouest France: «les gendarmes lui ont expliqué les risques d'un tel événement et les responsabilités qu'il encourait comme organisateur de<br /> fait, étant à l'origine de l'appel lancé sur Facebook. Un discours visiblement convaincant.»<br /> <br /> <br /> <br />
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